Elianna Enadannen [fini]

Nom: Enadannen

Prénom : Elianna

Surnom : aucun

Âge : 67 ans

Sexe : Féminin

Sexualité : Bisexuelle

Description mentale : Malgré ce qu’on pourrait croire, elle n’est pas si dure envers les humains et la seule esclave qu’elle à eu, elle l’a bien traiter. Elle a un tempérament calme, réfléchie et analyste, ce qui lui permet de faire son métier de tueuse à gage avec une efficacité accru. Elle n’est pas insensible et ne le cache pas non plus, elle peut décider de ne pas le montrer si cela est vraiment nécessaire, mais ce n’est pas dans ses habitudes. Le fait qu’elle tue lui à appris à ce détacher un peu de cela oui, peut-être un ou deux remords, mais sans plus. Si elle avait une esclave, c’était surtout pour tenir la maison et avoir quelqu’un pour passer ses temps libres et se détendre.

Ayant eu une enfance normal, elle a une haine envers les vampires, sans pour autant les tués à vu. L’esclavage des humains ne la dégoûte pas non plus, bien qu’elle ne les maltraite pas pour le plaisir non plus. Elle n’a jamais connu ce que c’était d’être amoureuse, bien qu’elle ait eu quelques petites aventures, parfois pour mieux tuer une proie, et n’en ressent pas le besoin pour le moment. Elle n’a pas vraiment d’humeur propre, celle-ci dépendant toujours de la situation ou de ses besoins du moment

Description physique : Elianna est grande et mince, 1m87 pour 60kg. Sa carrure laisse voir qu’elle à subit des entraînements stricts et intenses, car elle est musclée, sans trop non plus. Elle à une peau qui est légèrement bronzé, ce qui laisse témoigner du temps qu’elle peut passer à l’extérieur. D’une démarche gracieuse et féminine cependant, elle à une posture droit et fière des plus élégantes sur elle. Ses gestes sont précis et calculer, possédant une maîtrise de son corps assez bonne. Sa voix est suave et agréable, ce qu’elle sait utiliser quand il le faut et que ne laisse presque personne indifférent.

Son visage est fin et délicat, mais ceci ne change en rien sa nature guerrière. C’est une assassine plutôt, mais elle peut se mesurer avec un guerrier sans trop de difficultés. Ses longs cheveux bruns sont attachés en queue de cheval derrière sa tête, une mèche retombant en avant de son visage. Quand elle est en bataille, elle a un masque qui cache son nez, sa bouche et son cou (comme l’avatar), sinon elle ne l’as pas. Ses muscles sont visible, mais pas trop proéminent, juste ce qu’il faut pour voir qu’elle n’est pas faible. Ses jambes sont longues et fine, se qui découle de sa grandeur aussi, et lui laisse un certain charme, ainsi qu’une démarche agile et gracieuse. Elle peut marcher sans bruit et discrètement sans problème.

Histoire : Une famille ordinaire, une mère un père et une jeune fille. Sans être pauvre, il n’était pas riche, il survivait pourtant sans difficulté. On n’aurait pu se douter qu’enfaîte, les deux parents étaient membre d’un clan peu connu, faisant un travail considérer comme celui d’un assassin. Il n’était pas les mieux payé, mais il avait une maison, de la nourriture et ce qu’il fallait pour vivre. La jeune démone avait donc une esclave qui s’occupait d’elle quand ses parents étaient partit travailler, profitant toujours le plus possible du temps qu’elle pouvait passer avec ses parents. Elle grandit dans se climat, elle ne savait pas vraiment ce que faisait ses parents, les voyait peu. Sauf c’est derniers détails, sa vie ressemblait à celle des autres démons.

Rendu à un âge acceptable, son père lui apprit le maniement de la dague et des armes à feu discrètes. Elle se démontra très talentueuse dans le domaine des armes à feu, progressant assez vite, continuant à apprendre le maniement des dagues même si elle aimait moins. Quand elle fut assez habile et assez vieille, sa mère lui montra les rudiments du poison, ceux qui existaient, leurs effets, les antidotes et comment empoisonner une lame. C’était des connaissances qu’elle savait qu’il valait mieux garder secrète, elle se demandait bien pourquoi ses parents pouvaient connaître telles choses, mais ne posa pas de question. Le tout changea malheureusement à ses 18 ans. Elle fut réveillée tôt par son père, qui lui demanda de la suivre, la conduisant à un endroit qu’elle ne connaissait pas. Bien qu’elle posait des questions, son père se faisait muet, ne répondait pas, cela la laissait nerveuse, la peur commençait à l’envahir, mais elle ne fit rien.

Ils arrivèrent devant une bâtisse, dans laquelle son père la fit entrer, la guidant dans les corridors, jusqu’à une salle où elle entra. Sa mère était là, un inconnu avec des outils et un autre plus sombre. Son père ferma la porte et la verrouilla. C’est à ce moment qu’elle comprit pourquoi elle ne voyait pas beaucoup ses parents, d’où leur connaissance venait et qu’elle avait été entravée à suivre la même voie par ses parents. On la força à se coucher sur la table, lui attachant poignet et cheville pour ne plus qu’elle se débattre, on allait lui faire la marque qui allait montrer son appartenance au clan. L’inconnu sombre était le chef du clan, l’autre allait faire le tatouage. Pendant un long moment, elle se débattit et cria, car elle ne voulait pas avoir à dépendre d’un chef et d’avoir à s’agenouiller devant lui. Pourtant on lui fit quand même le tatouage, un dragon au corps serpentin, la queue entourant son nombril, le corps remontant sur son ventre, passant entre ses seins, le cou montant sur celui de droite, la gueule venant s’ouvrir de part et d’autre du mamelon de ce dernier. Les ailes du dragon part de son ventre et se déploies sur ses côtes gauches. Puis quand cela fut fini, elle s’avoua vaincu, que pouvait-elle faire maintenant ? Elle s’agenouilla devant le chef de l’ordre et entra à son service. Elle eu une haine envers ses parents, qu’elle a toujours aujourd’hui, bien qu’obliger de rester avec eux, car elle n’avait pas l’argent pour s’acheter une maison.

Plusieurs années passèrent une trentaine, elle ne les comptait plus, elle n’en avait plus rien à faire. Sa vie était maintenant d’être soumise au clan et de tuer ceux qu’on lui demandait, mais elle avait son plan pour se sortir de cet enfer. Avec ce nombre d’année, elle avait pu s’acheter une maison à l’insu de tous, sans pour autant y aller. Après une mission, elle revint et fit sa tête au chef, se lançant dans une provocation. Elle fut bien vite banni du clan, mais pas à n’importe qu’elle prit, dans sa fuite, elle fut vite rechercher par les membres du clan. Personne ne la chassait, mais si jamais un membre la voyait et la reconnaissait, elle devrait combattre pour se défendre. Elle s’est bien sûr réfugier dans sa maison, ayant aucune façon de gagner sa vie, elle décida donc de partir à son compte, devenant une tueuse à gage. Durant ses années, elle appris le maniement du fusils sniper, y excellant. Elle eut une esclave pour s’occuper de la maison, pour passer du temps dans les moments de solitudes et s’amuser une peu avec elle quand elle en avait envie. Cependant, cela fut très court, après douze ans, elle avait 60 ans, une maladresse l’obligea à retourner son esclave au marché, pour la sécurité de la jeune humaine et non pour elle, elle s’était quelque peu attacher à elle et ne voulait pas qu’il lui arrive du mal, bien qu’elle ne comprenne pas vraiment pourquoi. Elle vit donc seule depuis se temps, toujours tueuse à gage.

Arme : Elle à plusieurs dagues sur elle, et du poison qui permet d’empoisonner les lames de ces dernières, qui sont cacher à des endroits différents. Elle a aussi dans un endroit cacher de sa maison un sniper, qu’elle emporte seulement quand son contrat lui demande, le laissant cacher chez elle la plus part du temps.

Code d’inscription : Bon code

Ça fait du bien de voir quelqu'une de même race . Enfin, tout m'a l'air bien et c'est une belle fiche. Seulement, il est dit qu'on ne peut avoir qu'un arme dans la fiche, mais je vais attendre l'avis de Kazhana pour savoir si les dagues et le snipers sont accpeter, vu que le sniper est moins courament utiliser.

C'est bien si cela te rend content que je sois démone . Pour le sniper c'est comme tu as dit, il risque de ne pas être utiliser souvent, mais je me disais qu'il était bien de signaler qu'elle en avait un, enfin, s'il est accepter.

Merci et je ne tuerais pas tous ceux qui sont ici, c'est seulement pour les cas de dernière nécessité.