Je te tiens..... [pv.Lismé/Émsil Deikan]

Ça faisait déjà plusieurs jours qu’Ayame courait de ville en ville, pour éviter cette satanée Dame de sang du nom d’Émsil. Ayame dormait la nuit car elle arrivait à se cacher, puis camoufler son odeur, pour ne pas qu’elle la remarque. Se sauver des autres avait été quand même facile, mais maintenant elle avait affaire a la chef de tous les autres Dames de sang, c’est elle qui transmettait les ordres du grand maitre. Bref, Ayame entra dans une nouvelle ville enfin, elle allait pouvoir dormir, elle pourrait relaxer en oubliant qu’Émsil était a ses trousses, tout en camouflant son odeur, et camouflant toutes traces de son passage. À plusieurs reprises dans le passé, avec les autres, elle avait oublié de camoufler ses traces, c’est ainsi que les autre Dames de Sang avait faillit la coincé, alors maintenant elle faisait très attention a ce qu’elle faisait. Ces chaussures étaient toute déchirer, sa faisait trop longtemps qu’elle courrait et surtout qu’elle n’avait que le temps de s’arrêter pour manger des morceaux de pain qu’elle trouvait ou qu’elle volait. Alors le soir venu, elle n’avait pas mangé, de toute façon elle n’avait pas la force de manger pour l’instant la fatigue l’ayant prise d’un coup, alors une fois dans la ville, elle se dirigea vers un endroit qui ressemblait a des ruines, elle allait dormir là, ce disant que jamais Émsil irait la chercher dans un endroit où il y avait si peu de cachette, alors qu’il y avait les grottes, les ruelles, et plein d’autre endroit, où la jeune femme pourrait se cacher. Elle entra dans les ruines, défaisant son sac, pour le transformer en couverture et matelas de camping, puis elle se coucha dessus. Mais Ayame avait oublié deux choses importantes avant de s’endormir, effacer ses traces et masquer son odeur. Mais elle s’endormit quand même, rêvant de la même chose qu’a chaque fois, elle était dans un merveilleux champ à gambader, un monde où la violence n’était rien, le monde que les dames de sang avait fait semblant d’inventer pour elle.

Dirigé les dame de Sang, qu’elle idée stupide avait-elle eu. N’importe qui aurais fuit aussitôt sa liberté retrouver, mais comme toute ses sœurs, Émsil avait choisit de resté et de ce joindre a celle qui l’avait t’en fait souffrir. Même si elle les avait détestés durant t’en d’années, maintenant, cela semblait si loin. Alors même qu’elle avait reçu son Atrech, elle savait que sa vie devait continuer dans cette sombre tour qui avait accueillit tout ses tourment. Ce lui qui avait été sa prison avait aujourd’hui un tout autre sens. Il avait quelque chose de presque familiale. Elle habitait les seule personne a qui la jeune femme pouvait se fié. Ses sœurs toutes autant qu’elles étaient donnerais sa vie pour elle. Émsil en était fier, a son âge avoir atteint un si haut rang au sain de son ordre. Bien sur cela s’expliquait aussi par la terrible chose qu’elle devait accomplir et également par son don de naissance qui l’avait rendu maitresse dans l’art de celle de sa profession. La Dame de sang la plus crainte et respecté de tout les enfers.

Cela faisait déjà six ans qu’Émsil entendait parler de cette jeune fille qui avait miraculeusement réussis à fuir alors qu’elle en était encore au stade de la mascarade. C’était la première fois que cela arrivait et suite a cela les dame de sang avait prise des mesures pour que ce soit la dernière. Le faux village avait maintenant des gardes déguisés en citoyen. De cette façon, s’il devait y avoir une autre fugitive, elle serait immédiatement attrapée. Néanmoins, le problème causé par la jeune fille en fugue n’était toujours pas réglé. Pour ainsi dire, il avait trainé en longueur pour des causes incontrôlables. L’une des Dame de sang envoyé à la poursuite de la fugitive avait succombé à une attaque de lycanthrope, et une autre a celle de vampire. Il en aurait fallu de peu pour que l’enfant disparaisse dans la nature, mais finalement la Mère de San avait choisit de s’en mêlé personnellement.

Ainsi, Émsil Deikan, celle don le nom était toujours accompagné de sanglot ou de cri de peur, était entré dans la chasse. Si quelqu’un pouvait faire revenir une enfant récalcitrante, c’était bien elle. Ayant déjà a son jeune âge terminer la formation de deux Dame de sang, Émsil avait une bonne expérience en la façon de maitrisé la jeune fille et la modelé afin de la rendre impitoyable et immunisé a la douleur. Néanmoins avant que cela soit possible fallait t’il encore la retrouver. Ce qui posa un premier problème. Hors, Émsil avait un don rare propre a sa nature, ses ailes. Ces dernières lui furent bien utile pour poursuivre sa cible. Elle usa également de plusieurs sources d’informateur de différent village afin de finalement coincer sa proie.

Il s’agissait d’un petit village du nom de Trespront. Il ne comptait a peine plus de mille habitant qui vivait dans une pauvreté presque désolante. Des humains ayant fuit l’esclavage et cherchant un lieu tranquille pour s’abrité avait fondé cette petite bourgade, mais depuis sa création, elle avait sombré dans une sorte de chaos qui ne laissait voir que privation et famine. Ce qui n’était pas pour déplaire la jeune dame de Sang. Après tout les gens affamé faisait de très bon complice, puisqu’il était facile de les acheter. En remontant la piste de la petite Ayame, Émsil avait découverte qu’elle se trouvait dans une petite auberge près du centre du village. Ainsi après avoir achter les service de quatre homme solide qu’elle avait respectivement posté, un dans la rue devant l’auberge, l’autre dans les escalier, l’autre devant la porte d’entré et l’autre a l‘arrière, la mère de sang utilisa ses aile pour entré par la fenêtre de la chambre de la jeune fugitive.

Avec une douceur qui faisait contraste a sa réputation, Émsil écarta une mèche de la jeune fille endormis en lui disant :

<< Bonsoir Ayame, je suis dame Émsil, je vais te ramené a la maison>>